Catherina Williams
Messages : 16 Date d'inscription : 13/10/2009
Dossier du cavalier Âge: 17ans Ton pouvoir: Contrôle du pouvoir: (0/0)
| Sujet: Catherina Williams Mar 13 Oct - 17:24 | |
| ; L'enfance est le royaume de l'innocence... Ton personnage " Welcome at home " [list] ¤ Nom : Williams ¤ Prénoms : Catherina ¤ Âge: 17ans ¤ Profession : Elève ¤ Date & Lieu de naissance : 7 Janvier 1992 quelque par dans un ranch de l'Idaho. ¤ Histoire : - Spoiler:
Je suis née il y a 17 ans. Quelque part au milieu de nul part. Perdu dans les grandeurs magnifiques de l'Idaho. Ma mère, jeune femme d'alors 26 ans ne put me mettre au monde dans un hôpital. Vivant seule depuis ma conception elle me mit au monde dans un box près de son étalon quarter horse, son cheval de toujours. J'aurais pu mourir me diriez-vous et ma mère non plus ne croyait pas pouvoir réaliser cet exploit. «J'ai souffert.» M'expliqua-t-elle de nombreuses années plus tard car durant plus de quatre heures elle du se battre pour éjecter de ses entrailles un petit enfant qui refusait de s'ouvrir à la vie. La suite fut simple, elle coupa le cordon qui me reliait encore à elle, me fit pleurer et, après m'avoir enveloppé dans son tee-shirt elle se hâta de rentrer à la maison.
La vie était dur à cette époque. L'hiver ne désirait se retirer et les stocks de foin diminuaient à vu d'œil privant bétail et cheveux de nourriture. Cependant, ma mère était coriace si bien qu'elle parvint à s'occuper de moi mais également de ses bêtes. L'hiver fini par laisser place au printemps et les affaires repartirent petit à petit permettant à ma mère de prendre deux palefreniers excellent cavalier et très doux avec les chevaux. Quand à moi, et bien je continuais de grandir sous les yeux aimant de ma mère et je tenais à peine sur mes deux jambes lorsque je fis connaissance avec les chevaux. Ma mère préparait alors à diner et je jouais non loin d'elle avec deux petits chevaux de bois que Jim, l'un de nos palefrenier m'avait concocté. Ce dernier se trouvait dehors en compagnie de Jack s'occupant de curer les boxes cependant, et pour la première fois depuis un an et demi il avait oublié de fermer la porte. J'étais un bébé, une gamine déjà pleine de vie et de curiosité et je ne mis pas longtemps à galoper à quatre pattes jusqu'à la porte entre-ouverte... Jim me rattrapa quelques minutes plus tard alors que je m'apprêtais à rendre visite à Hidalgo, notre étalon mustang le plus fou que nous possédions. Nul ne sait ce qu'il se passa ce jour là, Jim persiste en disant que cela ne pouvait tenir que de la magie, Hidalgo aurait du m'écraser, me charger au lieu de ça, ses grands yeux noirs c'étaient figés dans les yeux et il n'avait bougé d'un pouce observant le petit être gazouillant et tenant à peine sur ses petites jambes qui venait ainsi profaner son territoire. De cette anecdote surprenante naquit mon surnom. 'Petit mustang.' Je mis longtemps à comprendre le sens de ce surnom et ce n'est qu'à l'aube de mes 8 ans que j'osais demander sa signification à ma mère. Je me souvins de cet instant comme si c'était hier. Ma mère me prit sur ses genoux et me narra cette confrontation entre moi et l'étalon. Elle décida de me nommer ainsi car j'étais semblable aux mustang. Petite sauvageonne qui n'aimait pas les règles, indomptable et pourtant si adorable lorsque l'on gagnait ma confiance. Et puis, il y avait ce lien étrange que j'entretenais avec les mustang. Chose que ma mère elle même n'était capable de réaliser. Non que je l'ai approchais sans soucis loin de là simplement, ils ressentaient moins de nervosité en ma présence et m'observais avec curiosité sans chercher à fuir mon regard. Sans doute ai-ce pour cette raison que ma mère m'offrit, à l'aube de mes 9 ans mon premier cheval. Bien sûr, j'avais déjà monté auparavant cependant il ne s'agissait que des chevaux les plus calmes et dociles du ranch. Temprano, Fidel, Miro, Jump et j'en passe. Je les connaissais par cœur et ma mère jugea qu'il était l'heure de me mettre réellement à l'épreuve. Hidalgo, l'étalon de ma mère âgé alors de 8 ans devint miens et je me souviendrais toujours de la réaction de Jack et de Jim lorsqu'ils apprirent sa décision. Ils la traitèrent de folle, d'irresponsable mais ma mère demeura de marbre bien trop occupée à me suivre du regard...
Je m'étais élancée à son annonce, rejoignant le près de l'étalon sans crainte avant de pénétrer dans ce dernier. L'animal se tenait alors non loin de moi et longtemps nous, nous observions. Je jugeais ses muscles durs et nerveux roulant sous sa robe palomino luisante, m'émerveillait devant ses aplombs parfait et savourait la courbe solide de son encolure. Hidalgo était beau, une beauté sauvage qui ne pouvait que me ravir. Je demeurais une longue demi-heure ainsi puis ressortais du près heureuse de ce 'premier contact'. Jim et Jack ne me posèrent pas de question bien que la surprise se lisaient dans leurs yeux et ma mère se contenta de me sourire apparemment heureuse de ma réaction.
Les jours passèrent, puis les semaines avant que je ne me décide à tenter une approche avec l'étalon. Allant le voir jusqu'ici chaque jour ce dernier ne marqua aucune surprise lorsque je m'approchais et lui proposais une pomme qu'il eu tôt fait de croquer avec plaisir. Se fut le début de ma plus belle histoire d'amitié et de fidélité avec le cheval.
Deux ans s'écoulèrent. J'étais à présent l'unique cavalière d'Hidalgo et je participais plus activement à la vie du ranch aidant ma mère à la maison et travaillant aux écuries avec Jim et Jack. A présent suffisamment âgé pour partir avec eux en expédition je fus initiée aux voyages de plusieurs semaines avec le bétail mais aussi aux voyages pour capturer d'autres chevaux. Les affaires fonctionnaient à merveille et nous devinrent peu à peu un ranch réputé pour ces mustang et ces bêtes magnifiques. Nous avions beaucoup plus de rancher travaillant à notre service et je devins petit à petit, aussi douée que ma mère pour dresser les mustang sauvages. Je n'étais pas autorisée à les monter cependant, mais j'étais celle qui établissais le lien avec les hommes affirmant ainsi mon 'don' que j'avais avec ces chevaux magnifiques. Mon existence me comblait, j'aimais ma vie, j'aimais ce ranch et chaque jour vécu m'emplissait d'une joie incroyable. J'étais heureuse et d'autant plus folle de bonheur que ma relation entre mon étalon et moi ne faisait que s'amplifier au fil des jours. Néanmoins, le bonheur ne semblait vouloir perdurer et c'est un soir d'automne que l'accident arriva...
Jim, Jack, quatre autres rancher et moi étions partie afin de ramener le bétail au ranch. L'hiver n'allait en effet pas tarder aussi fallait-il se hâter. Nous étions partie de bon matin comme d'habitude et Hidalgo montrait ce même entrain lorsque je lui soufflais à l'oreille que nous partions enfin.
Le voyage de l'aller fut fameux. Hidalgo se montrait joyeux, vif et nous, nous permîmes même quelques mètres de galop à brise abattu. J'étais heureuse, Hidalgo aussi mais nous dûment nous reprendre très vite lorsqu'il fut tant de ramener le bétail. Tout se passait pour le mieux et nous étions sur le chemin du retour depuis bien une heure lorsque quelque chose changea dans le comportement de mon cheval. Encolure redressé, regard alerte et souffle bruyant. Je connaissais ces signes précurseurs plus que tout et craignais à chaque voyage que ces derniers apparaissent. Une bête sauvage trainait dans les parages. Hidalgo l'avait sentit et chaque muscle se tendirent un à un sous moi. Alertée j'en fis par aux autres ranchers qui sortirent le fusil s'apprêtant à protéger leur bétail, leur cheval ainsi que leur vie. Le puma surgit de nul part et très vite, la situation nous échappa. L'animal avait joué avec les sens de nos bêtes et de nos chevaux si bien qu'il n'eut guère de difficulté à semer le trouble dans le troupeau. Les bêtes gémissaient, s'échappaient, et nous devions usés de toutes nos capacités et du meilleur de nos chevaux pour les garder grouper alors que certains rancher tentaient de viser le puma qui se jouait de nous avec une étonnante facilité.
Je m'étais élancée à la suite d'une bête égarée lorsque l'animal sauvage fondit sur nous. Hidalgo l'ayant sentit effectua un demi-tour violent et se cabra lorsque le puma bondit sur lui toutes griffes dehors. Pour moi, le temps c'était arrêtée. Je n'avais pas voulu lâcher l'étalon néanmoins je ne pus qu'être propulsée au loin lorsque ce dernier se dressa sur ses membres si haut qu'il s'écroula deux secondes plus tard sur le dos. Un hurlement surgit de nul part et je mis un certains temps avant de comprendre qu'il s'agissait du mien. Le puma avait profité de cet instant pour saisir mon étalon à la nuque, plantant ses crocs infâmes dans sa chair. Il y eu ensuite un coup de fusil qui réduit le puma au silence puis un deuxième qui mit fin à la vie de mon cheval. Jim l'avait tué pour écourter ses souffrances et je crus mourir à mon tour. Hidalgo était perdu, disparu, mort devant mes yeux sans que je ne puisse ne serait-ce qu'essayer de le sauver. Je l'avais perdu et cette constatation me fut si douloureuse, si invivable que je manquais d'air sombrant instantanément dans un coma dès plus profond.
Je m'éveillais de nombreux jours plus tard. Le corps enfoui sous des dizaines de couverture je demeurais un long instant impassible fixant le plafond de ma petite chambre cherchant dans mes souvenirs des images de l'accident. Avais-je rêvé ? Je l'espérais en vérité, désirant plus que tout au monde revoir mon cheval, espérant que lorsque je descendrais dans la cour, il serait là à hennir joyeusement avant de réclamer sa pomme matinale. Puis, je l'aurais caressée longtemps avant de le penser avec soin tout en lui chantonnant une berceuse qui le calmait étrangement. J'espérais, je priais pour que tout ces évènements ne furent qu'un triste rêve tentant en vain d'ignorer cette petite voix qui me soufflait que tout était bien réel.
La suite des évènements ? Je ne serais véritablement vous la racontez. En tout cas, les chevaux et moi c'était fini. Je me trouvais incapable de m'en occuper, de les regarder où ne serait-ce que de penser à eux. Alors, je passais le plus clair de mon temps dans ma chambre à écouter de la musique et à dessiner des choses inutiles qui me permettaient cependant de m'échapper. Le temps s'écoulait lentement et chaque jour devenait pour moi plus douloureux si bien que ma mère du réagir avant de voir sa fille transformée en mort vivant...
C'était un lundi soir, les 8 heures venaient tout juste de sonner et ma mère me fit descendre de ma chambre avec hâte. Surprise je la rejoignis néanmoins sans discuter et nous, nous essayâmes à la table avant que son regard bleu, si pareil aux miens vint scruter mon visage. J'haussais un sourcil surprise mais attendait qu'elle parle chose qui ne tarda pas.
«Cathy... J'ai essayé de te tirer de ce mauvais pas mais je crois que je ne suis pas capable de donner plus. J'ai un ranch à gérer et je n'ai pas besoin de toi dans les pattes avec ta déprime chronique pour me ralentir.» Ses mots étaient violents cependant, je ne marquais aucune réaction comme si ces paroles ne furent que du vent. Ma mère bluffait, il n'en pouvait être autrement. Aussi reprit-elle sur un ton froid et sévère. «Tu partiras dans une semaine pour un ranch réputé. Il se trouve dans Wyoming. Inutile de protester, tu es inscrite. Tu donc une semaine pour faire tes valises sans oublier tes affaires d'équitation puisque j'ai décidé de t'offrir un cheval. Un étalon paint horse.» Mon regard c'était figé dans le sien, surpris puis, petit à petit de plus en plus furieux. «Pourquoi ? Je ne veux pas de cheval ici alors pourquoi en voudrais-je un là-bas ? Je n'ai rien à faire, rien à donner, tu ne peux pas ! Tu n'as pas le droit !» Je m'étais levée et je hurlais à présent néanmoins ma mère ne se laissa pas impressionner et me saisit fermement par les épaules me forçant à me rassoir. «Tu pars, répéta-t-elle mot à mot, syllabe après syllabe. Heureuse où furieuse tu pars et tu resteras là-bas tant que ton cheval ne sera pas remis en état.» «En état ?» J'étais curieuse à présent, complètement désarçonné par ses dires. «Tu le verras bien assez tôt maintenant nous passons à table et je ne tolérerais aucune question.»
Le silence revint et j'obtempérais bien que l'idée de me retrouver dans un endroit inconnu et qui plus ai avec un cheval (dont je ne voulais pas) dans les pattes. Mais, avais-je le choix ? Il était clair que non, je me préparais donc à affronter un voyage affreux et une semaine de préparatif qui j'espérais ce déroulerait le plus lentement possible... Cathy ne sait pas encore quel cheval sera placé entre ses mains néanmoins, laissez-moi vous expliquer l'idée de sa mère. Cette dernière a décidé de lui offrir un paint horse sauvé de justesse de la boucherie. Un 'sac d'os' dirions nous, maigre, le poil terne et extrêmement sâle Cathy devra se charger de le remettre en état, de le débourer et de le dresser. Elle espére ainsi que la douleur de la mort de son encien étalon s'atténura un peu et qu'elle apprendra enfin à vivre avec. ¤ Caractère : Ah Catherina ! Le moins que l'on puisse dire c'est que la demoiselle a bien changé depuis la mort de son cher Hidalgo. Avant, Cathy est une jeune femme pleine de tendresse, de joie de vivre et d'insouciance. Enjouée et aimant la vie elle était un véritable petit rayon de soleil pour ceux ayant la chance de la côtoyer. Hélas, plus rien n'est pareil aujourd'hui. En effet, Cathy est devenu distante et froide, préférant la solitude à la présence humaine elle passe le plus clair de son temps à se balader de droite et de gauche, s'occupant parfois de son étalon avant de disparaître une journée entière je ne sais où. Pour tout vous dire, Cathy est devenue une demoiselle étrange. Sans cesse perdu dans ses rêves elle semble avoir la plus grande difficulté à suivre une conversation avec une personne. En effet, son esprit se laisse sans cesse distraire par le monde qui l'entour et elle cessera d'écouter son interlocuteur pour observer le vole d'un oiseau s'éloignant de la terre ferme. Nostalgique et que bien trop souvent triste, Cathy semble avoir cesser de vivre réellement si bien qu'elle ne prête plus aucune attention au monde qui l'entour. Ainsi, elle se moque bien des autres, de leurs sentiments et fait comme s'ils n'existaient pas. Sauvage et caractérielle Catherina n'est pas à prendre avec des pincettes soyez en sur. Sans cesse sur la défensive Cathy à tendance à prendre chaque remarque au premier degrés si bien qu'elle s'énerve très vite et souvent pour de mauvaise raison. Possédant un sens de la répartie poussée et ayant de nombreuses connaissances sur tous les noms d'oiseaux possible et inimaginable Cathy n'hésite pas non plus à rentrer dans le vif de sujet, à dire ce qu'elle pense et ce, sans mâcher ses mots, autrement dit, il lui est bien égal de faire du mal aux autres Cathy ne voyant que sa propre douleur. Néanmoins, ce mauvais caractère lui a tout de même donné quelques points forts à ne pas négliger. Tout d'abord, je dirais que Cathy et coriace. En effet, lorsqu'elle est lancée dans un projet il est tout simplement impossible de la détourner de son but. Sans doute ai-ce pour cela qu'elle est si douée avec les chevaux. Sa patience ne trouve pas de limite et il est d'ailleurs étonnant de voir comme elle maitrise ses émotions en leur compagnie. Point de peur, point d'énervement juste une indifférence troublante qui attire leur attention. Cathy ne cherche pas à les approcher, elle se contente de les observer et d'attendre. Surprenant de la voir agir ainsi me direz-vous car Cathy devient quelqu'un d'autre en côtoyant les chevaux et il serait presque juste de dire qu'elle préfère de loin les équidés aux humains. Sa mère n'avait peut-être pas tout à fait tord en la comparant à un cheval sauvage... Néanmoins, il ne faut pas pour autant perdre espoir car au fond Cathy est loin d'être une mauvaise fille. Elle est en souffrance voilà tout et si, obtenir sa confiance vous paraît difficile il suffit simplement d'attendre un peu, de l'amadouer et d'essayer de la comprendre. Alors Cathy se comportera sans doute comme avant. Elle sera souriante peut-être même aimante et pourrait accepter de vous montrer combien elle peut être une amie formidable et fidèle. ¤ Physique : Catherina... Et bien je pourrais dire que Cathy est jolie, possédant un charme bien à elle qui ne laisse que très rarement les autres indifférents. Son visage est très expressif et les traits de l'enfance ne s'étant pas encore estompé lui confère un côté mutin et coquin qui plaît généralement. Pour ajouter à cela, ses joues remontent adorablement lorsqu'elle sourit tandis que son regard, d'un bleu à faire pâlir le ciel s'illumine d'une lueur joueuse. Elle possède une chevelure extrêmement longue qu'elle tresse le plus souvent afin de ne pas en être encombrée. De petite taille, Cathy toise tout juste les 1m58 et elle possède une taille si fine qu'on aurait l'impression de la casser si on osait la prendre dans nos bras ce qui rajoute un côté enfant à sa personne. Passons à sa manière de se vêtir à présent. Pour cela on pourrait dire que Cathy n'a aucun sens de la mode ou encore de la féminité. Ayant été habitué aux travaux salissant et à la vie au ranch Cathy ne se pose pour ainsi dire, aucune question sur son look. Aussi, aborde t-elle le plus souvent un jean usé jusqu'à la corde, des bottes marrons lorsqu'elle s'occupe des chevaux où sinon, ses éternelles basket aussi vieilles et usées que son jean. Pour accompagner cela, elle met la plupart du temps des tee-shirt trop grand pour elle si bien qu'elle donne l'impression de se 'noyer' dans ses vêtements. L'été, elle aborde systématiquement un large chapeau afin de la protéger du soleil et ce dernier ne quitte alors jamais sa tête où son cou. Une jolie jeune fille donc qui ne deviendrait superbe si elle prenait un peu plus soin d'elle. Ton cheval "It's your life, you love it" ¤ Nom : Hildao ¤ Description de son caractère : Pour l'instant, Hildao est avant tout un cheval traumatisé et malheureux. Le regard vide et le corps moue, il a depuis longtemps oublié le mot 'amusement' si bien qu'il ne montre plus aucune bonne volonté à quelconque sorte de travail. Impossible de longer, impossible de le lâcher au padock puisqu'il ne prend plus la peine de courir, impossible de le monter étant donné son état de faiblesse en bref : ce cheval semble totalement irrécupérable. Têtu et ayant en plus de cela un mauvais caractère il tente sans cesse de mordre où de botter sa 'maîtresse' qui malgrès tout ne perdera pas esproir avec lui. Quelque part, ces deux là étaient fait pour se rencontrer. Deux sauvages qui ne porte plus aucun intérêt à la vie. Deux caractères épineux, deux coriaces et deux merdeux. Le couple parfait mais également redoutable. Cependant Hildao ne demeurera pas à jamais ainsi. Il sera plus tard, plus gentil, plus doux et emplit d'une vigueur nouvelle et incroyable. Néanmoins il restera le cheval d'un seul cavalier si bien que nul autre personne que Cathy ne pourra prétendre à monter sur son dos. Il gardera également son sale caractère ne cessant de tenter ses limites avec Cathy sans pour autant la mettre en danger. Il deviendra bon et protecteur, il sera vigoureux, intelligent et sans une once de méchanceté gratuite. ¤ Description physique ou photographie :
Pour l'instant, imaginez-le maigre, l'encolure creuse, la tête pendante et le regard mort. Les poils ternes et recouvert d'une épaisse couche de poussière et de terre. Imaginez-le sans muscle et chétif car c'est ainsi qu'il sera à son arrivé.Comme un cheval qui aurait loupé plusieurs années de vermifuge et qui serait plein de vers, comme un cheval maltraité tout simplement.
¤ Relation entre toi et lui :
Elle est inexistance. Cathy se moque de ce cheval tout comme lui n'a que faire de cette jeune demoiselle aussi frêle qu'un moineau. Ils ne s'aiment pas vraiment, Cathy s'en occupe jugeant contre nature de laisser un cheval dans cet état tandis que ce dernier ne cesse de la provoquer passant de tentatives de morsures à tentatives de ruades. Ils se provoque, se cherche, s'observe et aucun d'eux ne semble pourtant vouloir abandonner la bataille. Cathy et coriace et souhaite revoir cet équidé repprendre figue cheval tandis que ce dernier souhaite voir cette fille abandonnée sa tache. Cependant, ils vont tout deux se laisser prendre à leur jeu puisque, plus tard, (alors que Cathy aura enfin compris comment l'avoir et que lui aura enfin compris comment se débarasser d'elle) ils finiront par s'aimer d'une amitié sincère et sans faille même si Hildao n'acceptera la présence d'aucun autre cavalier sur son dos devenu puissant et aussi dangereux qu'un siège éjectable. (Cathy en fera les frais croyez-moi.) et enfin... toi ! "Parce-que nous voulons te connaître !" ¤ Prénom/Surnom : Camille. ¤ Âge : 17ans. ¤ Célébrité de ton avatar : Willa Holland ¤ As-tu pris un poste vacant ? : Non ¤ Comment as-tu trouvé ce forum ? : Sympathique. ¤ Qu'est ce qui pourrait être amélioré ? :// ¤ Niveau de RP :7 /10 ¤ Niveau de présence : 3/7 ¤ Code règlement : [ok 'Lena]
Dernière édition par Catherina Williams le Sam 17 Oct - 22:21, édité 3 fois | |
|