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| un peu de repos (pv James) | |
| | Auteur | Message |
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Ethan Selst
Messages : 114 Date d'inscription : 08/07/2009
Dossier du cavalier Âge: Ton pouvoir: Contrôle du pouvoir: (45/100)
| Sujet: un peu de repos (pv James) Mer 26 Aoû - 8:22 | |
| Itaq avait pas mal bosser aujourd’hui entre son travail et le puma qui lui servait de cheval mais il était content justement grâce au puma il lui avait enfin redonner espoir dans des améliorations. Toute les réactions du jour n’avait certes pas était positive du moins normalement, puisque le fait d’attaquer un de ses congénère ne devrait pas être prit pour positif mais là c’était différent et Itaq ne savait toujours pas comment prendre la réaction de son cheval, enfin il avait réussit aujourd’hui à capter l’attention de l’étalon autrement qu’en le travaillant et ça c’était bien et puis il avait prit la pomme aussi il y a peu il la refusait. Pas à dire c’était la meilleur journée qu’il avait eût depuis un certains temps, il espérait toute fois que la futur séance de travail qu’il aurait avec son puma ne la gâcherait pas mais bon on ne pouvait pas espéré grand chose de l’animal au fort mauvais caractère enfin pour le moment il profitait de son bonheur, l’hongre n’aimant travailler s’il faisait trop chaud et il préférait le mettre dans les meilleurs disposition possible, et puis il avait envie de retarder un peu le travail. Il soupira se reposant un peu aussi la journée avait était rude Marc n’aillant était là que la matinée, il c’était retrouver avec plus de travail que d’ordinaire, mais bon il avait finit c’était déjà ça. Il regardait le plafond de la salle de détente perdu dans se pensés depuis déjà un moment quand quelqu’un entra le faisant sursauter il sourit au nouveau venu, se demandant comment il avait fait pour pas le croiser aujourd’hui.
‘‘ Bonjour ça va ? ’’ | |
| | | James William Henderson
Messages : 127 Date d'inscription : 03/06/2009
Dossier du cavalier Âge: 39 Ton pouvoir: régénération rapide des cellules Contrôle du pouvoir: (40/100)
| Sujet: Re: un peu de repos (pv James) Mer 26 Aoû - 21:11 | |
| C'était, du point de vue de certains, une journée splendide et idéale en période de vacances : du soleil qui illumine le ciel et qui chauffe l'atmosphère, planant dans un océan azur soigneusement peint par un artiste méticuleux. La couleur était uniforme et n'admettait aucun nuage de coton blanc. Les rayons de l'astre lumineux, quant à eux, s'occupaient de cuire toute cette viande qui s’offrait à eux sur une assiette tapie d'herbe grasse : pour certains, ils dormaient en petite tenue afin de découvrir une peau brunie à leur réveil ; pour d'autres, ceux qui se déchaînaient à la tâche qui n'attend pas, ils suaient à grosses gouttes en étant accablés par cette chaleur étouffante. Pour un Australien, on ne pouvait pas dire que cette pénible météo lui était tellement douloureuse. Au Queensland, les hivers étaient comparables aux étés communs de l’hémisphère nord tandis que les étés étaient de réelles périodes de canicule, d’où l’obligation d’emmener les troupeaux vers de verts pâturages ; et, dans ces terres reculées d’Australie, l’œuvre ne manquait pas : travailler s’étendait des heures les plus fraîches aux heures les plus fraîches, c’est-à-dire depuis l’aube jusqu’à tard dans la soirée ; et, durant la majeure partie de ce quotidien éreintant, on avait l’impression de brûler en enfer. Aujourd’hui, James avait eu pas mal d’occupation. Levé depuis cinq heures, il avait travaillé Alcheringa en piste la demi-heure suivante jusque six heures avant de se promener paisiblement avec elle. Ensuite venaient toutes les tâches quotidiennes de la journée ; il s’était également occupé des vermifuges et pestait notamment contre les propriétaires laissant cette affaire au personnel du ranch. Non pas que vermifuger dix chevaux de plus ou de moins le gênait, mais il était particulièrement irrité par le fait qu’il doive courir après un produit ou un autre au spectre différent, et que découlaient énormément de rixes avec les cavaliers, d’autant plus que certains ne voulaient pas qu’on ne pique leur cheval, que d’autres avaient acheté des produits à donner dans une ration de grains, que certains chevaux devaient prendre une solution en pâte : de quoi en perdre la tête. Tout du moins, il avait clairement prévenu que tous seraient traités le même jour sans discussion : personne n’avait osé réprimander cette exigence. Ensuite, James avait sillonné la propriété avec son pick-up et des bennes stockées à l’arrière. Il avait déjà entrepris de ramasser les crottins du Dos d’Âne : après tout, il était presque impossible de tous les trouver, mais faire du contre-la-montre dans deux jours était une folie. Au moins, une partie était faite – et le terrain devenait plus propre, indéniablement. Liru, dans cette mission, n’avait pas manqué d’accompagner son maître. Il était un implacable pisteur de crottins – s’il ne s’y roulait pas furieusement, il prenait plaisir à en mastiquer quelques uns. De plus, le chien adorait se rendre sur le Dos d’Âne afin de piquer une tête dans la rivière, revenant alors complètement cru et empestant dans la voiture vu la longueur de ses poils rendant le séchage plus long. Par ailleurs, James avait toujours une couverture ou autre dans son pick-up, et il n’oubliait pas d’enrouler sa boule puante ambulante dans un linge. Cela apaisait énormément le nez de James qui ne supportait pas les odeurs pestilentielles qui l’incommodaient comme telles. Après s’être débarrassé des crottins ramassés, il s’était fait plaisir à s’occuper d’un poulain. Le petit bai, comme il aimait l’appeler, était son favori : après lui avoir passé le licol, il lui apprit à se tenir calmement à l’attache pour se faire panser. Pour une fois, sa mère n’était pas sortie du box et patientait à l’intérieur, sachant toutefois poser le nez sur son enfant. Ce contact chaud apaisait énormément le jeune qui, malgré tout, éprouvait encore des difficultés à se séparer de sa mère autre part que dans un paddock. Par la suite, James avait poursuivi ses affaires : un peu d’administration pour soulager Steven de l’éternel poids des paperasses, un peu d’éducation auprès des chevaux du ranch : deux séances de dressage, une de désensibilisation en extérieur, une autre où un propriétaire avait demandé de jeter un coup d’œil à son hongre que l’on avait du mal à longer. D’après le cavalier, le cheval se mettait à « péter un câble » quand on passait à l’allure supérieure, et qu’il « arrachait la corde des mains quitte à traîner tout le monde parterre » sans lésiner sur les « méchantes ruades portées vers l’intérieur ». En réalité, James avait jugé ce cheval très bon à la longe : il manquait un peu de tenue, certes, mais celui qui le longeait devait probablement manquer d’<i>énormément</i> de fermeté. Le hongre avait très bien travaillé à la longe – il ne pouvait d’ailleurs pas s’en vanter concernant Alcheringa. Après toute cette journée, il jugea bon de se changer les idées : il se rendit à la salle de détente, Liru sur les talons, et se dirigea directement vers un poste informatique. Itaq Selst était déjà présent, et il le salua amicalement. James jeta un coup d’œil de côté vers le palefrenier tout en se servant une tasse de café amer, et répondit dans un grognement une réponse affirmative. Il s’affala sur le siège en face de l’ordinateur tandis que le golden retriever retrouvait le jouet en plastique qu’il avait perdu quelques jours plus tôt, et qu’il se mettait à le mâchonner consciencieusement au pied de son maître. Ce dernier, tout en pianotant sur le clavier, prévint l’apprenti en ces termes : Au fait, tous les chevaux ont été vermifugés aujourd’hui. J’ai déjà commencé à vider le Dos d’Âne mais, dans deux jours, plus aucun crottin ne doit se trouver nulle part dans ce ranch. Il marqua un temps de pause avant de rajouter : il faudra aussi vider les box entièrement et les passer au parachlorometaxylenol. <i>Tous</i>. Pour James, cette journée-là serait bien éreintante. Nombre de palefreniers ne s’occupait seulement que de vider le box et d’envoyer de nouvelles bottes pour repailler, si bien que les chevaux se contaminaient de nouveau à une vitesse fulgurante. Ces gestions de vermifuges étaient toujours très compliquées lorsqu’il y avait beaucoup de chevaux, mais il fallait justement redoubler de vigilance et non pas perdre courage dans ces cas précis. James serait présent pour superviser : il ne comptait pas être le seul à travailler. Mark et lui devaient, d’ailleurs, s’organiser le lendemain à cet effet : chacun aurait sa part de travail, qu’il s’agisse des prairies ou des installations. Sur cette parole, il se réjouit de voir qu’Adèle lui avait envoyé un email. Elle semblait d’ailleurs de très bonne humeur et vantait ses résultats scolaires : là-bas, les étudiants avaient encore cours. James était tellement fier d’elle – il aimait énormément sa nièce, et il s’en voulait parfois de ne pas être plus souvent présent auprès d’elle depuis que sa mère avait été internée. Il se promit, en lui-même, de retourner en Australie lorsque sa nièce aurait ses congés ; il jeta d’ailleurs un coup d’œil sur Internet pour constater le prix des billets d’avion pour l’Océanie.
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| | | Ethan Selst
Messages : 114 Date d'inscription : 08/07/2009
Dossier du cavalier Âge: Ton pouvoir: Contrôle du pouvoir: (45/100)
| Sujet: Re: un peu de repos (pv James) Jeu 3 Sep - 11:58 | |
| Au fait, tous les chevaux ont été vermifugé aujourd’hui. J’ai déjà commencé à vider le Dos d’Âne mais, dans deux jours, plus aucun crottin ne doit se trouver nulle part dans ce ranch. Il marqua un temps de pause avant de rajouter : il faudra aussi vider les box entièrement et les passer au parachlorometaxylenol. TOUS.
‘‘ Je sais et ne t’e fait pas aucun ne sera oublier, j’ai vécu dans un haras je sais ce que j’ai faire pour ça, il est prévus de s’occuper des box en priorité, Mark penser faire le plus gros demain matin et après de s’attaquer à la peuplerais quand on en aurait finit, le pré au veau et Castel Roc abritant moins de chevaux ils se feront après. On va d’ailleurs avoir une nouvelle recrus pour nous aider à ça.
Il soupira trouvant que James devrais sérieusement penser à être un peu plus aimable de temps à autre, ça ne lui aurait après tout pas coûter grand chose mais bon il n’en dit rien commençant à s’y habituer il regarda ensuite l’homme pour une question qui n’avait rien à voir avec ça.
‘‘ Tu comptes utiliser le rond à la longe ce soir ? ’’
Il préférait le demander avant de prévoir vraiment la séance de travail avec Excalibur, les cours étant prioritaire pour ce genre de chose du moins avec lui. Il sourit réfléchissant encore au comportement qu’avait eut son cheval il aurait dût le sanctionner, il n’avait pas à attaquer Sweet Love mais il avait été tellement surpris que quand il avait commencer à ce dire ça il était trop tard pour lui faire des remontrances, il le ferait la prochaine fois si prochaine fois il y avait. Il sourit voyant Liru jouer amusait par le comportement du chien, enfin ce n’était pas propre à Liru les animaux domestique l’amusait en générale. Il regarda alors James à nouveau mais ne dit rien et retourna ensuite le regard vers un autre endroit fixant le téléviseur qui passait la rediffusion d’un concours de saut d’obstacle, et il se demanda s’il parviendrait à redonner le goût du saut à Excalibur, il commencer à vraiment espéré lui faire accepter à nouveau la monte mais le saut c’était encore une autre histoire. Il soupira il était toujours un peu perdu avec l’hongre ne sachant jamais trop quoi faire avec lui. | |
| | | James William Henderson
Messages : 127 Date d'inscription : 03/06/2009
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| Sujet: Re: un peu de repos (pv James) Sam 5 Sep - 13:35 | |
| Non, vas-y, prends-le. C'est rare que je l'utilise de toute façon. Par ailleurs, James n'émit aucun avis sur la réponse du palefrenier. Complètement absorbé par ses recherches, il finit par recueillir quelques notes sur un bout de papier qu'il enfouit dans une poche avant de siroter son café. Le goût amer réfutait l'homme à chaque gorgée, mais lui procurait du bien-être quand le liquide tiède parcourait son œsophage. Après avoir éteint l'ordinateur, il recula légèrement son siège qu'il fit tourner afin de regarder la télévision. Le concours de saut qui passait à cet instant-là présentait énormément de cavaliers, se tenant fièrement sur leur monture et les envoyant sur les obstacles d'une ambition hargneuse. L'animal s'élançait sur les barres comme si un monstrueux prédateur le pourchassait quoique, en réalité, ces braves chevaux en avaient réellement pour leur vie : chacune de ces compétitions démontrait au grand public, ainsi qu'aux souscripteurs de cette discipline, toutes les performances de saut appartenant à la charmante créature présentée. De plus, qui refuserait la gloire d'un trophée ou le plaisir de quelques billets de valeur ? James ne pouvait blâmer personne pour cette attirance, ayant fait partie lui-même de ce peuple cupide ; il n'empêche que l'ancien drover méprisait la complicité superficielle qu'il existait entre le propriétaire, son cavalier et son cheval. Dans ce monde à part, le seul moteur de ce secteur spectaculaire n'était autre que l'argent marié à la reconnaissance d'un prestige abstrait. Tandis qu'un participant conclut un parcours sans faute tout en boxant l'encolaure de son cheval par des gifles magistrales de récompense, l'Australien marmonna d'un ton morne : Bravo gamin, tu viens encore de raccourcir la vie de ton cheval de cinq ans au moins. Il poussa du pied la balle caoutchoutée du chien et eut un bref sourire quand ce dernier s'élança avidement sur son jouet, grognant rageusement parce que sa proie avait osé se défiler. Il s'en accapara violemment, la faisant rebondir malencontreusement sur le sol, et parcourut la pièce tout en glissant dans ses virages jusqu'à ce qu'elle se laisse emprisonner par Liru. Ce fier prédateur, pleinement satisfait de sa chasse, vint se tapir sous la table tout en mâchonnant sa prise qu'il immobilisait bien entre ses pattes poilues. En attendant, James s'en alla chercher une bride complète qu'il avait laissé pendre au porte-manteau et tout son attirail pour graisser les cuirs. Cela ne faisait pas très longtemps que la bride d'Alcheringa avait été entretenue, mais elle avait été abondamment mouillée durant leur promenade matinale : le couple avait profité de la fraîcheur de la rivière au petit matin. La jument avait pu se faire plaisir à patauger dans l'eau afin de rejoindre l'autre rive tout en s'ébrouant si fort qu'elle en avait créé une légère bruine éphémère. Par ailleurs, heureusement que James l'avait dessellée avant de partir se promener et qu’il rejoignait directement sa demeure afin de se changer, lui qui avait été trempé jusqu’au bas de sa chemise. Ce dernier retira le mors de filet ainsi que le celui de bride qu'il plongea dans un fond d'eau chaude ; immédiatement, les corps solides d’herbe mâchée et de salive plus chétives se détachèrent pour flotter dans l’eau. Il se mit ensuite à défaire chaque bricole minutieusement tout en organisant la surface de la table afin de ne pas s'emmêler lors du remontage et de ne pas perdre des pièces si faciles à égarer. Liru poussa son jouet du bout du nez jusqu’à ce qu’il roule au pied de son maître ; parce que ce dernier n’eut aucune réaction, le chien se releva et vint se poster à côté de lui, posant une patte sur le genou de l’homme et, comme il ne comprenait toujours pas sa demande puisqu’il n’avait fait que le caresser distraitement sur la tête, le mâtin aboya un couinement. Sur ce, James le regarda d’un air étonné et se leva pour aller chercher un bol d’eau tout en constatant que son chien alternait entre la position haletante face à la balle et l’air suppliant quand il regardait son maître. Ce dernier crut comprendre qu’il devait envoyer l’objet. Une seconde fois, il le fit glisser d’un mouvement de pied mais, habile, Liru le fit ramener de sa patte tout en récidivant sa demande. L’Australien prit alors la balle en main et l’envoya sans force de l’autre côté de la pièce, provoquant alors le démarrage en trombe de l’animal. Tandis que le golden retriever reprenait sa course poursuite dans toute la pièce, James sortit son couteau à cran d’arrêt dont la lame affûtée surgit rapidement accompagnée d’un léger son métallique. Il se mit alors à récupérer les saletés acculées dans les petits recoins de la bride en prenant soin de ne pas lacérer les cuirs. Tout en effectuant cette tâche, il demanda à Itaq : Une nouvelle recrue, dis-tu ? Qui est arrivé ? James était au courant que nombre d’employés avait envoyé leur candidature au ranch sans toutefois savoir quand leur arrivée était estimée. Pourtant, il aimait venir à leur rencontre pour déjà mettre au courant le système de ces temps-ci, surtout quand Mark n’était nulle part. Il songea d’ailleurs que ce dernier se trouvait assez souvent absent ces derniers temps et supposa qu’il avait fait une rencontre galante de ces jours précédents, ou qu’il avait des devoirs à rendre à l’extérieur. Dans tous les cas, le palefrenier en chef lui en discuterait seulement s’il estimait que cela était nécessaire de son point de vue. James n’aimait pas se mêler de la vie des autres et laissait ces derniers se confier à lui quand ils le désiraient seulement, non pas s’ils s’y sentaient obligés. Plusieurs dossiers appartenant à divers candidats apparurent dans son esprit. Il se demandait lequel Steven avait contacté sur ses conseils et si celui-ci avait pu rejoindre l’équipe du personnel immédiatement ; il élargit ensuite vers tous les autres potentiels palefreniers et apprentis en tentant de se remémorer les attributs de chacun. Certes, James n’était pas sûr de n’en avoir oublié aucun mais il tentait de parier, contre lui-même, lequel de ces postulants avait rejoint le Wildfire’s ranch.
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